Article de Régis Nivelle sur La spirale de la parole, de Guillaume Bergon
http://www.lithoral.com/article/index.php?id=128
"Une forme autocréatrice qui se nourrit d'elle-même infiniment et, semblable à une transe extatique, s'ouvre sur un néant, une non-pensée ou, pour le moins, une sidération de la pensée.
Oui, décidément, ce texte est une pure irréalité qui fait front à la pensée, la malmène et la défie. Et c’est bien de l'imminence d'un néant dont il pourrait être question dans ce texte derviche, d’un tournoiement au bord de l’à-pic du vide rarement approché.
Ce qu'on ne "préférerait autant pas" apercevoir du vide, alors que nous girons tous vers cette totalité.
Reconnaissons ici au moins les signes (...) avant-coureurs d'une profonde métamorphose de la pensée."
http://www.lithoral.com/article/index.php?id=128
"Une forme autocréatrice qui se nourrit d'elle-même infiniment et, semblable à une transe extatique, s'ouvre sur un néant, une non-pensée ou, pour le moins, une sidération de la pensée.
Oui, décidément, ce texte est une pure irréalité qui fait front à la pensée, la malmène et la défie. Et c’est bien de l'imminence d'un néant dont il pourrait être question dans ce texte derviche, d’un tournoiement au bord de l’à-pic du vide rarement approché.
Ce qu'on ne "préférerait autant pas" apercevoir du vide, alors que nous girons tous vers cette totalité.
Reconnaissons ici au moins les signes (...) avant-coureurs d'une profonde métamorphose de la pensée."
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